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pages 7ème année: vivre en ville, vivre à la campagne 9ème: des outils pour décrire accueil chanson: comment rédiger un dialogue: complément du nom (exercices) concours + correction concours 9ème 2019 concours 9ème de 2006 jusqu’à 2010 correction du devoir de synthèse n°3 9ème (examen national) décrire une personne devoirs 7ème année devoirs 9ème année: imparfait et passé simple (cours + exercices) la forme passive la phrase (exercices) la phrase: le conte fantastique le conte merveilleux le passé simple (règle): le schéma narratif les caractéritiques du conte les contes les pronoms personnels cod – coi les types et les formes de phrase révisions (concours 9ème 2019) types de phrases (exercices) categories non classé archives janvier 2008 décembre 2007 pages 7ème année: vivre en ville, vivre à la campagne 9ème: des outils pour décrire accueil chanson: comment rédiger un dialogue: complément du nom (exercices) concours + correction concours 9ème 2019 concours 9ème de 2006 jusqu’à 2010 correction du devoir de synthèse n°3 9ème (examen national) décrire une personne devoirs 7ème année devoirs 9ème année: imparfait et passé simple (cours + exercices) la forme passive la phrase (exercices) la phrase: le conte fantastique le conte merveilleux le passé simple (règle): le schéma narratif les caractéritiques du conte les contes les pronoms personnels cod – coi les types et les formes de phrase révisions (concours 9ème 2019) types de phrases (exercices) juin 2019 l ma me j v s d « jan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 archives janvier 2008 décembre 2007 visiteurs il y a 1 visiteur en ligne sondage désolé il n'y a aucun sondage disponible actuellement. recherche pour : recherchez aussi : - examen francais 9eme annee - exercice complément du nom - complement du nom exercices - schéma narratif - expression ecrite campagne auteur: liens créer un blog unblog.fr groupe nominal :le complément du nom 18 janvier classé sous non classé par gassoumi mohamed lazhar | 0 commentaires groupe nominal : le complément du nom l’essentiel 1- le gn est constitué essentiellement d’un nom. il a pour noyau un nom et son déterminant. il peut avoir des « expansions » qui peuvent enrichir le gn: ø adjectif qualificatif, complément de nom, proposition relative 2- la fonction du gn est déterminée par celle du nom-noyau. le nom d’un g.n. peut être complété par un autre groupe nominal appelé un complément du nom: la fin de la journée : (de: préposition) exemple1 ‘le cahier de mon ami’ le g.n. se compose d’un premier groupe nominal et d’un second qui est une expansion. le second g.n., « mon ami », complète le g.n. « le cahier ». il est complément du nom « cahier ». le conte populaire 2 janvier classé sous non classé par gassoumi mohamed lazhar | 0 commentaires le conte populaire définition le conte fait partie de la grande famille de la littérature orale . celle-ci englobe aussi l’ épopée , la saga , le mythe , la devinette , le cas , la légende , le proverbe , la comptine , le mémorat , la fable , etc. le conte est un genre narratif , contrairement à la devinette, au proverbe ou à la comptine. il est aussi délibérément fictif , contrairement à la légende, la saga et le mémorat qui se présentent comme véridiques. contrairement au mythe, le conte de tradition orale a pour cadre narratif principal le monde des hommes, même si celui-ci, notamment dans le cas des contes merveilleux, est souvent en contact avec l’autre monde des morts, des esprits, du petit peuple ou des dieux. la transmission des contes la transmission des contes se fait de manière orale, c’est-à-dire de bouche à oreille. le conte traverse ainsi les siècles par l’intermédiaire de la mémoire des hommes, plutôt que par celle des livres. ceci a pour conséquence qu’un conte diffère selon les époques et les pays: une même histoire possède ainsi un nombre important de variantes. on arrive à distinguer l’unité d’une histoire, derrière la multiplicité de ses variantes, par l’intermédiaire de la notion ethnographique de conte-type , qui définit une trame narrative par rapport à son contenu et à sa structure. cette trame narrative est soumise aux aléas de l’histoire de sa transmission, qui passe par la mémoire et l’imagination des conteurs. ces derniers peuvent privilégier certains épisodes, en transformer d’autres, rajouter des détails descriptifs en fonction du public, de l’heure et du lieu. souvent, le répertoire est connu de l’auditoire, et ses réactions exercent une influence sur le cours du récit. la connaissance de l’intrigue ne nuit néanmoins pas à la fascination exercée par le récit. le conte est avant tout la rencontre d’un conteur, d’un auditoire, d’une histoire, d’un lieu et d’un moment. on pourrait ainsi presque dire qu’il y a autant de versions d’un même conte-type que de séances de contes. en ceci, le conte peut être compris comme une sorte de performance , d’évènement unique qui ne saurait se renouveler deux fois de la même manière. hérité de la tradition orale, un conte ne se transmet pas de manière immuable, et est souvent sujet à de nombreuses modifications, permettant la naissance de nouveaux contes, mais provoquant également la disparition d’anciens récits qui tombent dans l’oubli. un conte disparait quand les conteurs se sont trop éloignés de la trame narrative commune, et que celle-ci est oubliée. a l’inverse, si un conteur modifie tant une histoire qu’elle en devient méconnaissable, on peut alors dire qu’un nouveau conte est né. sa vie est parfois de courte durée, l’intérêt pris pour le récit étant conditionné par les réactions de l’auditoire, et les « mauvaises » histoires étant rapidement oubliées. au fil des siècles, la mémoire des hommes opère ainsi une longue décantation du répertoire commun, ce qui explique que l’on retrouve souvent les mêmes récits, considérés comme les meilleurs par la communauté qui les véhicule. de nos jours, le conte est moins issu d’une transmission orale que d’une tradition écrite. il est donc plus souvent le fruit d’une création individuelle que d’une tradition collective. histoire des contes histoire des textes l’histoire des contes oraux peut être entendue de plusieurs manières différentes : il peut s’agir de l’histoire des différentes versions des contes oraux à travers les siècles. cette histoire est rendue possible par les traces écrites que laisse la tradition orale dans la sphère littéraire, notamment à travers les premières collectes de contes à partir de la renaissance, la littérature de colportage (en france, la bibliothèque bleue ), mais également les traces de motifs de contes oraux dans la littérature savante (les lais de marie de france , gargantua de françois rabelais , etc.). cette histoire, qu’essaye de mener notamment catherine velay-vallantin, n’en est qu’à ses balbutiements, et a en général pour objet de faire l’histoire d’un conte en particulier (barbe-bleue, le petit chaperon rouge, etc.) à travers ses multiples occurrences écrites, ses évolutions sémantiques en fonction de l’histoire générale (famines, migrations de population, évolution du costume, des mœurs, etc.). histoire des collectes une autre manière d’aborder l’histoire des contes serait d’envisager celle de leur collecte, c’est à dire le fait de les fixer sur un support, quel qu’il soit, afin de les sauver de l’oubli ou de les étudier. certaines versions orales font très tôt l’objet d’une captation écrite. soit que des auteurs aient choisi de les « réécrire », soit que des folkloristes aient opéré des retranscriptions fidèles. la plus ancienne trace écrite de récit oral connue à ce jour est l’ épopée de gilgamesh , rédigée dans la babylonie des xviii e et xvii e siècles av. j.-c. pour la première fois, un récit transmis oralement se voit figé sous une forme écrite, signant ainsi l’acte de naissance de la littérature. néanmoins, l’histoire de gilgamesh est de même que l’iliade et l’odyssée d’ homère une épopée , et non un conte. bien que des traces de la t